samedi 29 mars 2008

Tout s'arrange finalement

Eh oui, la vie s'arrange pour nous au final. Aujourd'hui, mes comptes ont été débloqués, et les APL se sont manifestées. Conclusion? Un message pour ne rien dire dans le blog, juste pour signaler à tous les desespérés que je connais, que si, pour moi, les bonnes nouvelles arrivent quand même, alors, pour vous aussi. Espérer ne sert à rien, mais attendre, si, car tout peut arriver. Je vous aime!!!

mardi 25 mars 2008

Cas logique... suite !

Bon, après discussion au téléphone, avec mon conseiller bancaire, il s'est avéré que :
1. Mon compte jeune aurait du être bloqué dès ma majorité
2. S'il n'a pas été bloqué jusqu'ici, c'est une erreur de la banque.
Bien. Suivant cette conversation, Monsieur le conseiller m'a promis que mon compte serait débloqué rapidement. 5 jours aprés, mon compte n'est toujours pas débloqué, je dois aller au lavomatique, faire les courses et payer EDF, avec un compte à découvert. Je rappelle, et là, Monsieur le conseiller bancaire m'annonce gentiment, que en effet, il n'a pas été débloqué, et qu'il ne sait pas pourquoi. No panic. Aprés 5 minutes de recherches désespérées, il s'avère que la banque de Lisieux a bien envoyé la demande de déblocage, mais que la banque de Caen ne la pas reçue (?). Cette fois, il m'assure que la demande sera effectuée aujourd'hui ou demain.
Question maintenant : vais-je devoir écrire une suite à ce texte ou pas??

dimanche 23 mars 2008

Erreur sur la marchandise.

Tout le monde se trompe un jour, et trompe quelqu'un que l'on aime. Cela fait partie des règles immuables de ce monde. Un peu dans notre nature en somme. Nous trompons pour avoir ce que nous voulons, pour ne pas dire la vérité, pour céder à une impulsion, pour garder une personne que nous aimons. C'est ce dernier cas qui m'intéresse. Pas plus tard qu'hier, un ami auquel je tenais énormément m'a trompée. Il m'a fait croire à des sentiments d'amitié alors qu'il s'agissait de tout autre chose pour lui. J'avais pour lui une confiance inébranlable, je l'ai toujours cru, envers et contre tous. J'avais tort. Le reste du monde avait raison. J'avais cru en sa sincérité, en son affection, au fait que, quoi qu'il puisse se passer, nous resterions francs l'un envers l'autre. Peut-être ais-je une version vieux jeu de l'amitié, mais sans cette complicité totale, à 100% véritable, sans compromis ni mensonges (directs ou par omissions), sans cette compréhension de l'autre, celle qui permet de se taire, et pour autant d'en dire autant que de longs discours, je ne saurais dire : cette personne est mon amie. Tout au plus un pote, une connaisance, mais pas un ami. Le mot d'amitié a pour moi une importance telle que je me refuse de le voir associé à des bassesses qui sont le lot quotidien d'une vie sur terre. Mes amis sont comme des îlots perdus dans l'océan, îlots où je me repose et partage bien plus que des confidences, des ragots et des conseils. Et hier, j'ai vu cette amitié salie, mise à terre et piétinée par quelqu'un qui savait pourtant ce que sela signifiait pour moi. Et je devrais pardonner? Parcequ'il n'a pas choisi ses sentiments? Je suis désolée, mais je m'y refuse. Pardonner, c'est oublier, et je ne veux pas oublier ce moment. Car à chaque fois que j'y repenserais, je me rappelerais que tout, tout sur ce monde, même l'amitié la plus sacrée, peut être gaché et détruit par de simples mots. Je ne serais plus amie avec lui. Je suis incapable de concilier ma vision de l'amitié, avec l'idée que, de son côté, ce n'est pas seulement cela. Je le voudrais, vraiment, car il va me manquer plus que tout, je tiens fort à lui. Je ne peux pas.

mercredi 19 mars 2008

Cas logique....

Prenons ma banque. Etant à découvert sur l'un des mes deux compte, je décide d'attendre gentimment une rentrée d'argent, pour ensuite basculer tous ces jolis euros sur mon compte sec. Mais oh! surprise! mon compte a été bloqué ! Après coup de téléphone à ma banque, je découvre, assez étonnée, que, puisque mon compte chèque est à sec, la banque a pris sur elle de bloqué mon compte jeune. Mais, grosse embrouille, c'est sur ce compte qu'arrive tout mes sous, qui auraient pu sauver mon compte à découvert... Alors, késako??

vendredi 14 mars 2008

Ce qui fait avancer le monde.

A mon humble avis, ce qui fait avancer le monde, ce n'est pas l'argent, ni les femmes (ou hommes...), encore moins l'amour. Je pense qu'il s'agit en fait de la peur. C'est elle qui nous pousse à agir, elle qui fait la différence entres les forts et les faibles, ceux qui sont capable d'affronter cette peur, et ceux qui en sont paralysés. Au fond, si on y réfléchit, qu'est-ce qui nous pousse à amasser de l'argent? La crainte de se retrouver à la rue, de ne plus pouvoir manger à sa faim, de ne plus pouvoir se faire des petits plaisirs, même s'il s'agit juste d'aller chez le coiffeur, se dire ( si on en veut ! ) que nous ne pouvons pas élever correctement notre descendance, et s'ossuper de ceux que nous apprécions. Ne pas être à la hauteur. Qu'est-ce qui nous pousse à chercher l'amour, ou se serait-ce que l'amitié? La hantise de vieillir seul, devant sa télévision, avec pour seul compagnon son poster préféré. Se dire que nous ne sortirons uniquement dans le but de faire les courses ou pour boire un café seul. N'avoir personne à qui se confier, avec qui partager sa vie. Qu'est-ce qui nous pousse au plaisir immédiat, que ce soit le sexe, la drogue, les jeux, les fêtes et autres? La peur de ne pas vivre à fond. L'ignorance dans laquelle nous sommes de pouvoir affirmer si oui ou non, il y a une autre vie qui nous attend après notre mort, cela nous pousse à vivre nos passions tout de suite, de se faire plaisir sans réfléchir, de rire, de pleurer, de chanter. ce qui nous pousse au plaisir, c'est la peur d'avoir gaché sa vie à ne pas avoir su profiter du peu de temps que nous avons à passer sur Terre, de n'avoir pas su en profiter, la peur d'avoir à le regretter plus tard, en vieillissant et en devenant incapable d'exécuter les mêmes actes que plus jeune.Qu'est-ce qui nous pousse à construire une famille? La peur la plus simpliste qu'il soit. Celle de disparaître sans laisser une trace de soi, pas un témoignage de notre existence sur terre, personne pour se rappeler de qui nous avons été.
Seul la peur permet d'avancer dans la vie, à l'unique condition d'être assez fort, ou futé, pour l'accepter et la combattre.